Marc-Antoine OLLIVIER

Qu’est-ce qu’on peut bien avoir à raconter quand on est fils de paysan, que les récit populaires ne se transmettent plus, et que les langues qui portaient ces récit s’éteignent elles aussi ?

Marc-Antoine Ollivier a pris à bras le corps cette question avant qu’elle ne tourne en obsession. Pour le moment, ça va… et c’est même devenu une passion. Un plaisir qui irrigue son travail de collecte et d’interprétation de contes et chants de tradition orale de chez lui (Centre-Bretagne). S’y ajoutent des histoires de toutes traditions du monde, au gré des lectures et des voyages, et qui racontent à leur façon ce qu’est être humain.e sur terre.

Comme quoi, ça en fait des choses à raconter…

Au bout du fil : des petits contes facétieux de chez moi, en breton et en français, il y a fort à parier qu’on y trouve des liens avec des histoires venant d’autres cultures (après tout, un conte est toujours une version d’un autre conte). Peut-être même qu’on tirera le fil jusqu’à aborder des grands mythes fondateurs et des épopées légendaires.